Yannis et Amine vacances au camping

Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 3 ans
Dans son contrat BDSM il y avait celles-ci :

"Tu vas oublier tous tes principes et répondre favorablement à tous mes désirs et mes envies, sans songer à les contester."

"Ta dignité n'existe plus, tu es ma chienne et mon esclave, sexuellement comme pour la vie quotidienne."

"En signant ce contrat, tu acceptes d'être disponible selon mes envies à n'importe quel moment du jour et de la nuit et ce chaque jour de l'année."

"Ce contrat est définitif et ne peux être rompu que par ton nouveau Maître, que tu devras respecter comme tel."

"Tous mes potes auxquels j'accorderai les pouvoirs bénéficieront des mêmes termes du présent contrat vis-à-vis de toi"

"Toutes les grandes décisions de ta vie, ainsi que ton compte en banque, seront gérés par ton Maître."

Et je vous épargne les autres clauses qu'il avait mis au point... J'étais devenu un bout de viande. Depuis, il n'a pas trop profité de ce contrat, sauf pour quelques pipes que je lui administrais avec un plaisir difficile à dissimuler. Oui, mon esprit était vaincu à sa force et sa puissance. J'étais sa pute et cela m'excitait de plus en plus. Tant que ça restait soft...

Fin juin, il m'a téléphoné et m'a convoqué chez lui. Je pensais devoir le pomper une nouvelle fois. Il n'en fut rien : il devait partir en vacances près de Marseille. En camping.

"Bien sûr, je compte sur toi pour m'accompagner et me vider les couilles tant que j'en aurai envie. On part dans une semaine. C'est clair ? Maintenant viens pépon..."

Me voilà aujourd'hui à crever de chaud depuis deux semaines sous cette tante ignoble. Et pour ne pas éveiller les soupçons de ces potes des cités du coin, je restais en permanence enfermé dans la petite tante, ou sur le terrain du petit camping du Rove. Un peu les boules quoi... Par chance, un terrain de foot en terre battue était placé juste en dessous de l'emplacement de notre tante. Je matais grave les beaux rebeus, tous plus musclés les uns que les autres, jouer au ballon, comme ils disent ici. Et puis au moins, le soir je dormais proche de lui, après avoir eu ma rasade de jus. J'étais chaud comme la braise : il avait trouvé une cage de chasteté. Il ne voulait pas que je me touche :

"T'es encore plus salope quand tu as les couilles pleines, alors pourquoi je te laisserai te vider ?"

Effectivement, il me tenait par le contrat, mais aussi par le bout de la bite. Tant son corps de rêve que son autorité de mâle me rendait totalement accroc. Ajoutez le contrat et la chasteté...

Un jour arriva enfin où il me promit une surprise pour le soir. En échange, je ne devais pas sortir de la journée. Je restais bien sage, malgré la chaleur suffocante. Vers 22h, j'ai entendu deux voix : Amine et un autre. Puis il a passé sa tête entre la fermeture-éclair et il m'a dit :

"J'ai ramené un mec que tu dois vider. Ça paie ma bouffe alors fais bien ton boulot, je reviens... Mais t'inquiète : je pense que tu vas kiffer ta race ! Ok pute ?"

Avant même ma réponse, sa tête disparue et un mec entra. Waouh ! Non, pas déçu : cicatrices légères, regard de bête, musclé comme un joueur de foot, regard assassin, 22 ans à tout casser. Ma queue battait la chamade contre sa pauvre cage.

"C'est toi que je dois vider ? Alors écoute..."

Pas le temps de finir ma phrase qu'il prit ma tête, la colla sur son paquet en disant :

"Ferme la, t'es pas là pour parler alors pompe-moi."

J'avançais mes doigts afin d'ouvrir sa braguette et je reçu une beigne :

"Qui t'a dit de mettre tes doigts de PD sur moi ? Utilise ta bouche, c'est tout ok ?"

Pas facile d'obéir à ses ordres mais il ne m'en laissait pas le choix. Je galérais pas possible. Il intervint :

"Mais putain, t'es bon à rien ? Tu suces mieux j'espère..."

Il ouvrit lui-même son pantalon, sans descendre son caleçon. Je m'arrangeais avec les dents pour le baisser. Sa queue frappa contre mon visage et se dressa fièrement.

"Deux semaines que ma copine est partie au bled cousin. Tu vas avoir du boulot : je suis une mitraillette. Avec moi c'est pas un coup puis chiao..."

J'aurai bien voulu jouer avec son gland, mais il enfila sa capote et se mît à me limer les lèvres rapidement et sans se poser de question. Comme s'il baisait une chatte élargie. Il avait la tête en arrière et les coups de reins dévastateurs. J'étouffais tant sa queue frappait au fond de ma gorge. Mais c'était trop bon ! Il me juta sur le visage sans prévenir :

"Tourne-toi maintenant... Donne ton boul."

J'obéis sagement. Il lâcha un mollard sur ma rondelle, puis deux doigts forcèrent le passage. Quelques secondes plus tard, sa queue transperçait mes entrailles. Avec force autorité. Quel mâle ! Quelle puissance ! Ça en était un prodige de la baise. Il ne perdait pas de temps. La douleur fut réelle mais infime, car je mouillais d'excitation comme jamais auparavant. Il pilonnait sans aucune pitié. Son zob était tellement large que chaque millimètre de mon cul était limé à la perfection des sensations. Je contractais légèrement ma rondelle, par saccade :

"Mec, t'as la meilleure chatte que j'ai jamais baisé. Et en plus t'en redemande. T'es vraiment une chienne, truc de ouf !"

À ces mots, il se déchaîna en moi. Le rythme me faisait presque tourner de l'oeil. Je ne contrôlais absolument plus rien, la réalité avait perdue son sens. Meilleur que toutes les drogues du monde. Ce mec est un véritable Dieu de la queue.

"Prends ça salope ! Rhaa......"

À ces mots, il sorti sa queue de moi, retira le préservatif et inonda mes fesses de foutre. Pas le temps de souffler qu'Amine gratta à la tente...

"T'as fini Karim ? Parce que là j'ai un second pote à satisfaire. Donc grouille-toi frère !

  • Amine, y'a moyen de discuter deux secondes avant ?

  • Ouais. Je peux rentrer ?

  • Entre putain, c'est ta tente, non ? Bon, je veux ta pute pour moi !

  • T'es ouf ! Hors de question.

  • Écoute, ma copine revient de Tunisie dans 3 mois. C'est trop long. Et avec ta lope, c'est trop bon. Donc elle est à moi. En location.

  • Tu me fournis toute la beuh que j'ai besoin ? Pour les 3 mois ?

  • Sans blem. Ramène-toi demain, je te donne ça. Mais la pute est à moi jusqu'à la fin de l'été, on est d'accord ?

  • Ça marche. Deal. Je peux la baiser jusqu'à la fin de la semaine, avant de repartir sur Paname ?

  • Wesh Amine mon poto ! Ce qui est à toi est à moi. T'es cool. Je vais dire à l'autre de se barrer."

À ces mots, Karim sorti de la tente. On entendit quelques mots inaudibles, puis un choc, et il revint.

"C'est bon, tout est arrangé."

Puis à moi :

"La pute, t'es ma propriété pour 90 jours. Prépare ton cul ! s'exclama-t-il d'un rire pervers."

J'allais passer 3 mois avec le Dieu de la baise. Et ce fut une expérience unique, que je vous raconterai très bientôt...

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